Bonjour les poètes !

Bonjour à tous...
Plusieurs mois déjà que je n'étais pas venu parmi vous...Ainsi va la vie et ses vicissitudes...
Mon poème de retour ne brille pas par son optimisme, mais, pour aujourd'hui, c'est tout ce que je peux vous offrir ... Bisous chastes aux dames qui veulent bien, un tendre et particulier à Gi, notre chère hôtesse... et à EDEN ma "vieille" copine...

Mon cri !

Terreurs, tumultes et bruits
Mains folles, haine aux yeux
De l’aube au soir jusqu’à la nuit
Autour de moi, êtres fiévreux
Des hommes vont viennent et recommencent
Sans cesse le temps qui les devance
Ils jettent la mort âpre semence
C’est leur labeur, sans repentance !

Tous les chemins vont vers tes yeux
Du fond des brumes mon âme s’envole
S’exhume des cauchemars hideux
Monte dans les nues, caracole !

Tes yeux, tes mains, je les retrouve
J’oublie ma peur dans le brouillard
Le haut soleil, là, se découvre
Vient dans mon cœur en doux poignard
Le fanal bleu de ton regard …

Ah, ne rien perdre ! Ni mon cœur ni mon temple
Ne pas être sensible au gris poussière du temps !
Te retrouver toujours sans retenir mes larmes
Sentir ton corps frémir à mes doigts descendants
Me noyer dans tes yeux, abandonner mes armes…

^Å^

Ange Baroudeur

ta poésie a évoluée...
comme ta vie j'imagine
ainsi va la vie, la tienne comme la mienne...

C'est bon et rassurant de te retrouver.

Merci pour ce tendre et particulier bisou je l'apprécie grandement.

Au plaisir,

gi

Merci à toi, Gi, de ta présence tendre.
Comment ne pas revenir vers elle ?

^Å^

Evoluée dis-tu ? j'espère dans le bon sens... mais le mois d'août va me donner l'opportunité d'y travailler...

Bonjour Ange Baroudeur,

Vibrants tes vers et durs, parfois, comme l'airain. Avec des envolées lyriques et ensoleillées :

Tes yeux, tes mains, je les retrouve
J’oublie ma peur dans le brouillard
Le haut soleil, là, se découvre
Vient dans mon cœur en doux poignard
Le fanal bleu de ton regard …

José