Passion

Décidément, j'aime énormément tes poèmes et les émotions qu'ils déversent.

"Le paradis de l’enfer
Je me fais ange et démon
Et célèbre ton nom
Ton corps et ton âme
En allumant la flamme"
Ce passage, me plait vraiment beaucoup

Je ne peux faire autrement qu'aimer tes textes, Coccinelle...

Tu possèdes le sens de la création et du don...

Merci,

Gi

Lorsque tes yeux percent
Ma nuit secrète
Et qu’ils traversent
Mon âme offerte
Je meurs et renais.

Moi je célèbre ta plume coccinelle !
et me" pâme"!
Quelle passion !Un maelström qui se déverse dans nos âmes ...Magnifique .
Merci !
Mes amitiés

Citation :

Lorsque tu me prends
Comme une enfant
Par la main vers
Le paradis de l’enfer
Je me fais ange et démon

Bon, j'ai tout compris, peut pas te faire de l'oeil, moi, ce n'était pas mon intention mais...

la main vers c'est un peu... si non





Juste Le Réal

Cher Réal, j'abdique: j'ai pas pigé pourquoi "la main vers..." a attiré ton attention...(y aurait-il un jeu de mots qui m'aurait échappé vu l'enjambement.)

Ceci dit...un poème éternise l'instant: à chaque fois qu'il est lu, l'émotion que le poète y a exprimée s'exhale telle quelle et habite le lecteur, peut-être même, avec le recul du temps, semble-t-elle plus forte, plus poignante. Ainsi, je lis "Le lac" de Lamartine parfois avec, au coeur, ou "Demain dès l'aube" de Hugo avec un bouleversement que le temps n'use pas, au contraire.

Mais, le poète n'est pas le poème. Il est humain. Ses émotions s'effilochent avec le temps...et, moi-même, lorsque je me relis, je me dis :"Mon Dieu! c'était donc si fort pour qu'il en reste des mots si terribles!"

Ceci dit, ne le prends pas comme une invitation à me faire de l'oeil.. MDR


Bonne fin de semaine ....

Elfe! te revoici...je te souhaite une excellente fin de semaine...