Une bien triste fin pour une histoire qui fut si belle...c'est dans ces moments la qu'on ressent comme un grand coup de poing en plein dans la poitrine.
cet apres midi j'ai apris que Gene n'operait plus et meme ne travaillait plus a l'hopital, elle est atteinte d'un cancer qui est déja en fase terminale. je l'ai eue au téléphone elle a confirmer, elle ne m'a pas dit encore combien de temps, nous avons eu un long entretein ravivant des souvenirs qui sont comme un bain d'adolescence, on s'est dit des mots quii font chaud au coeur, mais ce ne seront jamais que des mots que je peu lui apporter comme seul réconfort, elle n'a pas 40 ans et les volets vont se baiser, c'est un etre d'une grande douceur, une femme digne de cette apellation et un chirurgien hors paire qui va partir.. quand ! je ne le saurais jamais, elle a refuser de me dire ou elle était.
la vie est bizare des fois, j'ai Maria qui est mon dieu, Gene tout en me sauvant la vie est entrée dans ma vie, j'ai lutter et connus les pires tourments pour ne l'aimer, j'ai du partir pour Pise pour estomper mon cafard, ce mardi j'apprend qu'elle est condamnée et vendredi je pars pour Pise. début et fin d'une histoire en deux voyages a Pise...!
ça fait un drole d'effet, il n'est jour ou je n'ai pour elle une pensée, rare sont mes nuits sans qu'elle ne peuple mes rêves, et voila le voile noir de la mort qui embrume tout.
la vie est bizare et quand on a un coeur...ça fait mal.
A MA CHIRURGIENNE
O de la fantaisie âme sœur.
Corps en lequel bat un triste cœur
Toi dont l’indifférence charnelle
Ne doit rien à ta chasteté.
Toi qui chaque soir, tard veille
Pour satisfaire ce pourquoi tu as étudié.
Tu mènes une vie trépidante
Au rythme d’un métier exaltant
Qui seuls les vocationnés enchante
Et en lequel tu mets tant de sentiments.
Point d’amour dominical !
Ni d’éphémères amants
Aux promesses bancales.
Ne s’en viennent, malheureusement ! Abrégé ton temps !
Toi qui aucun amour ne vis
Ne te meurs tu d’ennuis ?
En festoyant allégrement
Tu étouffes quelques peu tes chagrins
Mais dés que tu revêts l’habillement
De ton chirurgical destin.
Ta fantaisie se retrouve engluée sans remissions
Par tous ces masques de préoccupations,
Que de faux sourires illuminent
Pour mieux occulter
Les larmes qui minent !
Tous ces angoissés par leur petite santé.