tu

TU
Avoir fait don de ta jeunesse
Pour être ce que tu es !
Faire don jusqu’à la vieillesse.
Pour rester ce que tu es !
Vivre presque toujours
Dans l’une des réalité de tous les jours
Tel à été ton choix
De te blâmer certes il ne m’échoit
Ton sourire est de miel
Mais ton cœur est amer
En ton âme il y a beaucoup de fiel
Pour tout être de chair.
Tu te mets sur un pied d’estalle
Tu cloîtres tous dans la même stalle.
L’apparence que tu veux donner
Farde tout ce que tu es en vérité
N’es tu prêtresse de l’égoïsme ?
Tu suintes l’égocentrisme.
Atour de toi ce n’est que masque ! Avec ton titre
Tu ne vois que des pitres.
Tu n’es sollicitée, pour ton manque d’attraits
Tu es d’un classicisme qui n’existe plus.
Tu vas dénicher un pauvre benêt
Mais tu ne vas savoir concessionner
Et tu jetteras cet hurluberlu
Ai-je à te juger
Je ferais mieux de me regarder
Et continuer à t’aduler

Casanova
tu es dur parfois...
enfin, c'est ton droit.
Au revoir.
Gi