Temps de réflexion

Amour

Un son féerique profond venu d'un monde lointain
Du passé apparue une femme,
D'un soupçon croisé de sa vie
Son Prince a pour mission d'aimer son âme si en beauté.

Sa promise demeurée dans le bonheur
De l'avoir si désiré dans sa tour sacrée,
Mais voilà les mots sont là pour toujours
Le jour ou ils oublieront le malheur.

Pour être ensemble et que la vie soit une fête
Et construire un foyer et avoir des enfants dans la gaîté,
Mais voilà son fidèle aimé est toujours en guerre et paix
Il fait des efforts pour la garder dans son cœur.

Venant enfin, le printemps il finit par la retrouver
Et le laissa sans un mot en la revoyant par tant d'amour.
Sa Princesse lui prend les bras et l'embrasse tendrement
Il pris sa main la caressa et le tour était joué c'est le début d'une belle histoire.

Le cow-boy

Il siffle le cow-boy
Avec sa musique de cavalier,
Un duel armé vers le seuil
Tout proche de mon œil.

Et la haine de son aïeul
Dans la mire d'un tir
Pour le tuer et l'anéantir
Dans sa symphonie.

Une femme chante dans la raison
De la maison solide par sa fondation
Jouissance du plaisir de vivre où la déraison
La renaissance d'une vie a pour but, ma compréhension.

Oh Dieu! pardonne moi par cette fureur qui me tue,
Pour essayer de donner une sorte de perfection de mes actes,
Cœur chantant loin de l'horizon où est mon âme,
Loin de tout où est mon devoir.

Joint du plaisir de vivre
Pourquoi je tremble par cette obsession?
Vision du chant d'un homme quelle version
Ma façon de voir Dieu chantant pour nous donner le pardon.

merci Neau Seb, je suis ravie de te lire...
Bonne fin de journée

Ginette

La vie et le malaise

Le feu brûle
Au cercle des poètes disparus
Au coin de la cheminée déchue
Mais jamais le feu ne bascule

Lueur jaune telle un cigare allumé
Telle le feu de Dieu et
Telle une âme malheureuse
Mais qui, sans doute, sera bientôt heureuse

Incendie du coeur
Qui ne veut pas mourir
Car il a été baptisé
Tel un feu de joie

Le feu est source de vie
La vie est belle, mais rude
Il faut savoir l'apprivoiser comme la pie
Trop bavarde et trop prude

Brûlante la flamme ardente
Tel du charbon brûlant et incandescent
Dans une locomotive née de la création
De la création du Monde et des Révolutions

Auteur Sébastien Neau.

Un serment

L’Église a de l'eau bénite,
Nous renvoie à notre utopie
Pour se faire plus critique
A notre idylle.

La source de la vie
J'en oublie l’essentielle de son envie,
L'homme détruit par sa survie dans l’homélie
L'eau c'est notre symphonie.

Une musique si belle, qu'elle me guide
Des voix et un son magique
Magnifique par sa tendresse unique,
Et se languir de plaisir.

Pour un bonheur inscrit dans ses limites,
Le tam- tam et le sifflement résonnent dans la guitare qui rugis.
Sonne la volonté de vouloir construire
Avec volupté de tous ses désirs et d'y voir l'avenir.

Oh courage de se tenir droit enfin libre
Pour la seule raison de réfléchir,
Marchons sans appesantir
Au delà de ses rêves authentiques.

Retentit le bonheur et la joie des affranchis
Liberté en venir bien tardive.
Seigneur pardonnes moi d'avoir pris la fuite,
Suite à l'amour d'une femme qui est partie

Loin le désir de plaire dans le vers des artistes
Suivre son chemin avec ses amis (es)
Pour en finir sans être meurtrie
Je suis heureux de vous le dire dans l'infini.

Merci Gi

je publierai ton poème demain dans mon bulletin sur les rêves.
Merci Sébastien, j'avais raté tes deux textes, désolée.

Gi