La lune

Un bol de lait caillé


A toujours menacé de se verser


Sur la tête de l’humanité.


Heureusement, de temps en temps


Passe un ange assoiffé


Il en sirote la moitié


Et, comme le breuvage est frai,


Il en reprend encore une gorgée


Jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un fond


En forme de croissant


Et plein d’étoiles émiettées !


Puis, le croissant redevient pain rond


Ensuite bol de lait caillé


Jusqu’à ce que l’ange en mission


Revienne se désaltérer.

Oh ! ma belle Coccinelle, c'est tellement mignon, j'adore.

merci, je suis tellement contente que tu sois cet ange qui passe dans ma vie...



Gi

J'adore ton poème. Lorsqu'on le lit on se sent apaisé dans un monde frais et lumineux. Tout blanc comme le verre de lait caillé

Merci à vous deux Gi et NOLWENN ... je me sens capable de semer des poèmes à travers la voie lactée rien que pour votre bon plaisir !!!