Les états voisins

Tu te promènes dans les états voisins
Je rêve de t'offrir des images
En savourant une grappe de raisin
Qui se dégagent des nuages

De dessine un arc-en-ciel
Le soleil se couche je suis serein
Toi et moi c'est bien réel
Vivement ton retour pour te tenir la main

Le temps s'adoucit après la tempête de pluie
Chaque jour je gagne quelques mètres
Tes pensées viennent vers moi et tu souris
Je ne suis pas sur l'estrade comme le maître

Tu t'appelles femme de l'espoir
T'écrire est un véritable plaisir
Tu restes libre dans ses murs d'ivoire
Je ne connais pas les limites de nos désirs

Sur nous l'eau tombe à flot
Tu es comme un défi face à ma vie
Jamais ne se tairont mes mots
Je ne suis plus en sursis

J'en ai les bras en croix
Je ne suis pas un soldat du feu
En imaginant ta voix
J'adore la douceur de tes yeux

J'ai toujours peur que tu quittes mon île
Je ne serais plus qu'un fantôme
Pour moi ce n'est pas facile
Je reste sous ton dôme

Parfois j'attise le brasier
A ton oreille j'aime murmurer
Je ne suis plus un écolier
Que je ne suis plus emmurer

Je t'en prie ne change pas
Même parfois s'il y a des doutes
J'imagine l'espace de tes bras
Je connais le prix que çà coûte.

zorgx

En écho...

L' Arc en Ciel
Laure BACHELIER
http://poesie.webnet.fr/vospoemes/1912/12170.html


Tu seras arc en ciel, aux premières gouttes
Du matin, la palette où je mélangerai
Couleurs tristes, teintes gaies .Elles seront toutes

Au creux de mes mains. Alors je m’envolerai
Mettre le bleu au ciel, le blanc aux nuages,
Du soleil les vermeils, les rouges sang. J’irai

Au delà des temps retrouver les images
Des dieux dans le pays où ils sont nés.
Mer, rochers, traces de pas sur les plages

Où les héros d’Homère se sont échoués.
A Delphes la Pythie me dira peut-être
Si tous les grands malheurs de la boite échappés

Seront un jour par Pandore, folle tête,
Renfermés. Puis je changerai la nuance
D’âges passés, pour que tous ceux là soient fêtes.

Pour que César n’exerce pas sa vengeance
Que la Saint Barthélemy n’ait pas existée
Pour que des peuples entiers en déshérence

Ne soient la poussière des chemins envolée.
Les mains pleines de lumière j’irai plus loin
Défaire ce qui à d’autres hommes par des

Hommes a été fait. J’effacerai c’est le moins
Ces jaunes étoiles , j’éteindrai la flamme
Des fours où brûla l’humanité sans témoin

Je ferai ce que les dieux n’ont pas fait :Aimer.

Toujours aussi magnifique tu viens ajouter une flamme je suis touché
Merci Gi,
zorgx sud--fgb

Zorgx,
Donne-moi encore des images afin que chaque poème se transforme en voyage.
Donne-moi encore des couleurs pour oublier les douleurs.
Merci.
Pleins de bisous

Clo,
Prés de moi ouvres le livre d'images tu voleras à travers les ombres nuages.
Ton coeur chassera tes douleurs il ne restera plus que la couleur.
Meric pour tes mots.
Bisous.
zorgx cooldfgb