S’envoler librement dans un lit de silence
Pouvoir se reposer sans jamais renoncer
Ressentir dans tes bras la douce délivrance
Respirer de plaisir c’est si bon quand j’y pense.
Condamner notre union au feu de la souffrance
Dans un brasier de larmes et de sanglots mêlés
Par un monde enlaidit de trop de manigances
Nous sortirons plus forts d’amour et d’espérance
J’ai donné sans compter mon entière confiance
Sans les abandonner, sans jamais m’essouffler
Sont-ils d’venus des monstres ? Car le bonheur dérange
Déplorables humains nous traînant dans la fange.
Je garde dans mon cœur le soleil de ma France
Afin que mes hivers s’y puissent réchauffer
Je laisse à vos consciences vos propos indécents
En offrant à ma vie des amitiés naissantes.
EM. 12/05/2006