Quand j’ai planté mon chapiteau
Sur ce terrain devant ta rue
J’ai retrouvé un brasero
Dans un petit coin de ta cohue
J’ai préparé un numéro
Avec jongleur et trapéziste
Avec Gros-Nez et Fernando
Avec dompteur et fantaisiste
Des musiciens équilibristes
Et un cracheur de feux follets
Un magicien fildefériste
Et un chanteur de variété
Un chimpanzé hypnotiseur
Un éléphant une fanfare
Un cavalier et un danseur
Puis deux géants conteurs d’histoires
Je plisse le front
Et je me dis
Quel drôle de cirque
Y a pas de femme
Je me réponds
Elle n’est pas loin
Cette jolie dame
Près du grand cirque
Je la vois bien
Pour faire le clou
Eh puis voilà
Je l’aime comme un fou
Je l’aime comme un fou
Je l’aime comme un fou
J’avais envie pour te surprendre
De faire danser des otaries
Une folie pour te faire comprendre
Que mes pensées vont vers ta vie
Pour te prouver tout mon amour
J’ai mis au point un vrai spectacle
Je vais le déposer devant ta tour
Tu me rejoins mais tu renâcles
Tu plisses le front
Et tu me dis
Quel drôle de cirque
Y a pas de femme
Je te réponds
Oui ma chérie
Comme seule dame
Dans ce grand cirque
Il n’y a que toi
Pour faire le clou
Eh bien voilà
Je t’aime comme un fou
Je t’aime comme un fou
Je t’aime comme un fou
Alors tu ris
À grands éclats
Et tu me dis
Tu es fada
Puis tu te casses
En mille morceaux
Je fais la grimace
Jusque dans le dos
Je m’appelle Auguste
Qu’est-ce que je déguste
Sur cette piste
Je suis le clown triste
Quand j’ai planté mon chapiteau
Sur ce terrain devant ta rue
J’ai retrouvé un brasero
Dans un petit coin de ta cohue
Bien au milieu de cette piste
Y a mon amour qui est pendu
Au clou
Bien au milieu de cette piste
Y a mon amour qui est perdu ...
C’est tout
musique Loeizig EHOUARNE
paroles Bernard PICHARDIE
pour écouter la maquette de la chanson
en version intégrale
http://chantsongs.centerblog.net/rub-EHOUARNE.html
(2ème chanson de la page)