Poème à thème : les acrostiches

Bonjour,

Le thème que j'ai choisi

les acrostiches.

écrivez--moi sur cette si jolie façon de faire de la poésie s'il vous plait.

Où connaissez-vous des poètes qui l'ont fait ?

Faites-nous en profiter

Gi

C O U L E U R S

C omme un arc en ciel, c'est beau,
O range, vert, rouge, indigo,
U nie, chamarrée, brillante,
L a couleur peut être vivante,
E talée sur la palette,
U nisson des teintes en fête,
R ien n'égale leur harmonie,
S i l'ensemble est bien choisi.

Nelly Johnson




Retrouvez d'autres acrostiches de l'auteur :
http://nelly.johnson.free.fr/Page30.html

T u sais, j'aime bien avec toi...
U n jour on s'offrira mercure ou vénus

S ans retour ni consigne...
A vec l'amour pour écrin et Eros pour label...
I l faudra qu'on se cache, d'accord, mais...
S auve les meubles, je me charge du trésor...

J e t'inventerai une nouvelle conjugaison

A vec rien que des temps parfaits :
I l n'y aura même pas d'avenir,
M ême pas de conditionnel : rien que du présent !
E coute quand je te parle...

B aisse pas trop l'abatjour :
I l me faut te voir pour t'aimer d'amour...
E t tu sais : j'aime bien avec toi...
N e regarde pas : je t'embrasse...

A lors ? On se l'offre, ce tour de draps communs ?
V érifie s'il n'y aura pas d'écho...
E lle est si vite perdue, la grâce du bon vouloir...
C ombien de temps pour achever le sentiment ?

T a réponse : une éternité ! La mienne : une seconde...
O ublier qu'il y a des secondes qui durent des éternités...
I rrémédiablement, je t'aime...

http://www.yves-simony.net/article.php3?id_article=174

A vec ta sombre crinière,
N aïade téméraire,
T u t’élances, emportée,
I nsolente, vers ton frère,
G ravissant la colline,
O ù son corps est tombé ;
N e te retourne pas, ma divine !
E mpêche les vautours de le dévorer !

Par cet acte impie,
Défendu par Créon,
Antigone périt
Pour cet ultime affront.
Elle aurait tant aimé
Vivre comme tout le monde !
Mais voilà que les dés
Avaient été jetés :
Par la faute d’une reine et d’une bête immonde,
Orgueilleuse, indomptée,
Elle perdit sa beauté.

Antigone (19.09.2005)

Avoir envie de connaître les autres, voil A !
Bien un petit plaisir qu'ignore le " naba B "
Certains lui semblent fous et lui donnent le tra C,
D'autres encore, bien trop tristes ! Il en a le cafar D…
Et d'aucuns sont si simples ! Il ne peut les comprendr E.

Fier de sa réussite, il ne pense qu'au béne F,
Grossir sa tirelire et maintenir son ran G !
Habité du plaisir de pouvoir payer cas H,
Idolâtrer l'argent est là son seul souc I
Jongler avec le fric tel sera donc son hadjd J…
Khalife de la " Famille ", le pognon est son crac K…

La richesse pour certains devient un idéa L,
Menant droit au pouvoir elle est pire que l'opiu M.
Nul ne devrait en faire son unique passio N !
Ouvrir son cœur au monde, vaincre sa mégal O
Pourvoir à ses besoins, sans en demander tro P.
Qu'importe que le lion puisse avaler le co Q,
Rien ne peut l'empêcher lui aussi de mouri R.

Songer à tout cela, refréner nos désir S,
Tandis que riches et snobs ne recherchent que l'argen T !
Un homme ouvert aux autres est plus libre dans sa pea U
Vivant spontanément, il note sur son c. V :
Wargames je vous déteste, je préfère le slo W
Xénophobes, exploiteurs, vos cœurs sont trop affreu X !
Yin ou yang ? tricheurs ou bien fair-plaY ?
Zygotes ? Bons ou mauvais ? C'est vous qui choisisse Z !



*****

©Thierry Deschamps

Antigone

Les jours de la semaine
Ne sont jamais les mêmes,
Du Lundi au Dimanche,
Ils s'écoulent lentement,
Egrainant des chapelets
De minutes qui dansent.

L umières pourpres du petit matin,
U ne journée qui commence plutôt bien !
N imbée de brume aux dessins
D antesques et incertains ;
I maginez celle de demain !

M émoires d'hier et de toujours,
A u fond du puits de vos silences,
R etrouv'rez-vous au détour
D u chemin de vos nuits de nonchalance, les
I mages de la fin du jour ?

M es livres remplis de nostalgie
E crivent l'histoire d'une vie
R eflets de l'incertitude, dans le
C alice de l'habitude ;
R edonner force et espérance
E st le fardeau qui est le mien,
D ans ce monde ou la décadance
I llusionne le genre humain.

J ardins d'iris et d'opalines, vos
E cureuils sont de retour,
U ne pluie fine tambourine
D ans les sous-bois et les collines,
I nfatigable et sans détour.

V ivement la fin de la semaine !
E t nous pourrons aller enfin
N ous promener en bord de Seine,
D ormir ou faire des calins,
R êvasser dans les chemins en fleurs,
E crire aussi de longs poèmes, et
D éjeuner à l'ombre des pins,
I nconito et sans problèmes.

S urfer lentement sur la toile du net,
A vec le sentiment intérieur de n'être, qu'une
M achine vivante racontant des sornettes,
E chappée de l'asile des fous de l'internet.
D échirer le voile des forums espions,
I ndexer l'antivirus aux ailes des papillons !

D emain, hélàs, la semaine recommence !
I nsidieusement, cette belle journée avance,
M artelant les secondes, les minutes sous l'enclume,
A ttisant le feu d'un soleil qui s'embrume.
N aurais-je pas dû ce jour profiter de l'aubaine, et
C ercher avec humour que ces heures soient miennes ?
H ebdomadaire journée, quand tu me reviendras,
E ssaie de guider ingénieusement mes pas !


Antigone (18.09.2005)

merci beaucoup à vous deux.
Bonne soirée

Gi

Et même en attendant mon tour chez le toubib :


D olante, endormie, que je suis fatiguée !
O reiller de plume tu m'attires, tu m'attires ; des
R êves m'attendent sur des nuages dorés,
M 'entraînant, pas à pas, somnolante, vers l'oubli.
I l y a comme des jours, il y a comme des nuits, où
R ester sous la couette serait vraiment le pied !

Antigone (22.09.2005)

Antigone

test de routine ou problème de santé ?

Je t'embrasse,
Gi

Je connais
Oh combien
Se gargarisant de mots
Et de fantasmes

Ce poète amoureux de la beauté
Hautaine
Activant un désir
Néronien ô feu
Libérateur clame ce pyromane qu'un
Y nargue

J
O
S
É

C
H
A
N
L
Y

MERCI...

O
N

N
'
E
S
T

J
A
M
A
I
S

M
I
E
U
X

S
E
R
V
I

Q
U
E

P
A
R

S
O
I
-
M
E
M
E


lollllll !

Bisou

Antigone

J - un jardin de joie
qui m'envahissait tant de fois
quand il était près de moi
et que j'étais dans ses bras.

A - armonie de l'amour
qui rimait avec toujours
que j'épouvrais pour lui
plus fort de jour en jour.

C - charmé était mon coeur
il battait à la chamade
il était près du sien
qui battait contre le mien.

Q - c'était une autre histoire,
c'était la mer à boire,
je ne savais pas quoi
dire de cette lettre là.

U - c'est comme pour Q
c'était aussi compliqué,
je n'avais pas de mot
que je puisse faire rimer.

E - c'était une éclaircie,
après le vent et la pluie,
c'était un arc-en-ciel,
après l'orage vient le soleil.

S - c'était son sourir,
sur son visage serein,
et qui me faisait rire
et chassait mes chagrins.

Enfin pour terminer,
Il faut que je vous dise,
Il était une fois,
Nous deux, lui et moi.
Pourquoi ?
Et pourquoi pas ?
Quelle réponse donner
A une question comme ça ?
Il n'y en avait pas,
Oui peut-être si :
Parce que c'était lui,
Parce que c'était moi.

(1981)

Les jours de la semaine
Ne sont jamais les mêmes,
Du Lundi au Dimanche,
Ils s'écoulent lentement,
Egrainant des chapelets
De minutes qui dansent.

L umières pourpres du petit matin,
U ne journée qui commence plutôt bien !
N imbée de brume aux dessins
D antesques et incertains ;
I maginez celle de demain !

M émoires d'hier et de toujours,
A u fond du puits de vos silences,
R etrouv'rez-vous au détour
D u chemin de vos nuits de nonchalance, les
I mages de la fin du jour ?

M es livres remplis de nostalgie
E crivent l'histoire d'une vie
R eflets de l'incertitude, dans le
C alice de l'habitude ;
R edonner force et espérance
E st le fardeau qui est le mien,
D ans ce monde ou la décadance
I llusionne le genre humain.

J ardins d'iris et d'opalines, vos
E cureuils sont de retour,
U ne pluie fine tambourine
D ans les sous-bois et les collines,
I nfatigable et sans détour.

V ivement la fin de la semaine !
E t nous pourrons aller enfin
N ous promener en bord de Seine,
D ormir ou faire des calins,
R êvasser dans les chemins en fleurs,
E crire aussi de longs poèmes, et
D éjeuner à l'ombre des pins,
I nconito et sans problèmes.

S urfer lentement sur la toile du net,
A vec le sentiment intérieur de n'être, qu'une
M achine vivante racontant des sornettes,
E chappée de l'asile des fous de l'internet.
D échirer le voile des forums espions,
I ndexer l'antivirus aux ailes des papillons !

D emain, hélàs, la semaine recommence !
I nsidieusement, cette belle journée avance,
M artelant les secondes, les minutes sous l'enclume,
A ttisant le feu d'un soleil qui s'embrume.
N aurais-je pas dû ce jour profiter de l'aubaine, et
C ercher avec humour que ces heures soient miennes ?
H ebdomadaire journée, quand tu me reviendras,
E ssaie de guider ingénieusement mes pas !


Antigone (18.09.2005)

Les mois qui s’écoulent ne sont jamais les mêmes,
D’hivers jusqu’en étés ils mènent tous nos pas
Vers la vie qui nous pousse à faire des poèmes,
Et la danse des saisons nous emmène au trépas.

J adis s’écoulaient lentement
A vec une froide dérision
N os journées vides de tout serment.
V entôse aux portes des maisons
I ncitait le monde à se taire
E t de folie en déraison
R êvait de routes moins austères.
-----------------------------------------------------------------------
F antomatiques nuits d’hiver,
E n saisissant nos bleus rivages,
V enez vous perdre dans la mer
R ampez aux portes de nos plages.
I nvitez donc la neige le gel
E n refermant sur vous la cage
R ompez cette folie irréelle.
-----------------------------------------------------------------------
M êlant les senteurs d’une rose nouvelle,
A vec les embruns de la brise parfumée,
R edoutant les silences de la nuit éternelle, il
S avoure la paix renaissante de l’été.
-----------------------------------------------------------------------
A vec le vent du nord
V entôse enfin s’endort.
R empli de certitudes
I l rêve d’altitude.
L a bise le suit, candide.
-----------------------------------------------------------------------
M atins du monde, où les embruns du vent
A nnoncent la faconde des jours renaissants
I nsolence rayonnante d’un soleil triomphant.
-----------------------------------------------------------------------
J ardins aux senteurs enivrantes qui guettent
U ne larme de rosée les embruns parfumant,
I l y a dans vos espoirs des rêves de tendresse,
N ul ne sait pourtant d’où vient votre tourment.
-----------------------------------------------------------------------
J amais au grand jamais sur notre vieille terre,
U ne rose d’amour ne pourra se donner,
I l faudrait que le vent s’en aille faire la guerre, aux
L icornes ailées vivant dans les marais,
L uttant contre la force de l’infinie détresse
E chouée sur le rivage et rêvant de tendresse
T andis que la lune nous dirait ses secrets.
-----------------------------------------------------------------------
A vec le vent du sud, mon horizon s’embrase,
O ccillant sur les vagues de l’Est jusqu’au couchant,
U ne brise légère en cascade m’embrasse
T andis que le soleil fait l’amour aux brisants.
-------------------------------------------------------------------------
S erpentant dans les dunes au son d’un vieux tambour,
E lle poursuit, nonchalante, son voyage au long cours,
P osant, de-ci de-là, indolente, ses bagages,
T apissant de velours nos plages et nos rivages,
E lisant domicile sur une île sous le vent,
M êlant le silence aux cris des goélands,
B ords de mer sauvage, aux reflets chatoyants,
R avissement suprême, étoile du matin,
E lle est mon âme sœur, sans elle je ne suis rien.
--------------------------------------------------------------------------
O bsédante nuit d’automne,
C répuscule tentaculaire,
T a chanson si monotone
O uvre la porte à l’hiver.
B ondissant dans la compagne
R ougissante feuille d’érable
E lle s’envole la première.
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N ovembre de brume inonde doucement notre ciel bleu
O bscurci, comme une offrande, à l’ombre de la lumière ; un
V éritable vent de sable s’engouffre dans nos cheveux,
E clipsant les nues qui passent sur notre vieille terre ; un
M anteau de bruine glace nos mémoires rouillées ;
B arbotant dans les flaques nous voilà tout mouillés ; les
R ires dont l’écho ne cesse de mourir
E nlisent le temps sous les plis des souvenirs.
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D ans la neige, l’hiver a figé les sous-bois,
E nlaçant les ruines du soir de ses bras.
C ette nuit les enfants fêteront la Noël,
E n priant, de tout cœur, qu’elle soit éternelle ; la
M ajesté du silence et le temps qui passe
B ercent nos cœurs d’une langueur vivace ; les
R ougeoiements du feu qui crépite dans les cheminées
E clairent nos mémoires et nous font rêver.
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Antigone (12.09.2005)

I l était une fois, si ce n'est trente,

S ur les ailes du vent et d'une étoile filante, un

R oyaume mystérieux, que le soleil convoitait,

A ux flots outremer et aux parfums discrets,

E pousant la nonchalance des longues nuits d'été,

L ézardant tous les silences en une mer brisée.

Antigone (28.08.2005)

N onchalantes nuits des sables,

O ù les sanglots longs du vent

I vitent les forêts d'érables

R eflets des légendes d'antan.

M ultitudes fantastiques,

O ù se cabrent les brisants,

U lulantes, magnifiques,

T elles des sirènes au couchant,

I ndolante ou chimériques,

E lles fendent les flots outremer,

R oses blanches éphémères, entre ciel et terre.



Antigone (28.08.2005)

A.vant de partir en direction de l’au-del.A
B.arbotant dans l’oued, au pied d’un baoba.B
C.omédien de pacotille, j’aurai sûrement le tra.C
D.e quitter cette terre, avec le cafar.D
E.vitant de justesse de prendre une claqu.E
F.oncer vers le néant, en fracassant un i.F
G.oûter l’amertume, la tête sous le jou.G
H.antée par le trépas et bouffer de l’anet.H
I.mprovisant sa fin, passante sans souc.I
J.acassant avec les anges, accompagné d’un hadjd.J
K.amikaze de la vie, finir dans un koula.K
L.ançant, d’une ruade, sa glande lacryma.L’
M.aculée de larmes, sans fumer d’opiu.M
N.eutraliser son cœur, attisant la passio.N
O.bscurcir sa gloire et puis sa mégal.O
P.arasitant le corps avec un coup de tro.P
Q.uémander la clémence à la place du co.Q
R.ien ne sert de courir, avant que de mouri.R
S.achez qu’en l’avenir les livides linceul.S
T.erniront votre étoffe, ainsi que votre écla.T
U.lulant de rage, pour votre temps perd.U
V.ous fermerez la porte, laissant là votre C.V
W.arrantant votre vie et finissant votre sho.W
X.énophobes aigris, dans vos torves millieu.X
Y.songiez-vous avant de perdre votre fair-pla.Y ?
Z.igouillés vous finirez ! Alors choisisse.Z !

Antigone (01.10.2005)

D anser sous la lune de mon ami Pierrot,
E crire des rimes en la ou bien en do,
M êler l’esprit volage à la musique des mots,
A ppaiser la souffrance et la douleur des maux,
I llusionner le chagrin, ne pas faire le grand saut,
N uancer la pensée, tout en persiflant sa mégalo.

Antigone (01.10.2005)

merci ma chère amie... pour tout.

ACROSTICHE DU BLEU AU CIEL

Le ciel, bien que couvert, peut quand même être bleu !
En fait, il suffira, pour cela de deux yeux :

Ceux qui nous sont précieux à regarder sourire,
Illuminés d’amour ; et d’un cœur qui soupire
Et qui attend la fin de l’orage : il sait que
Le soleil percera le stratus belliqueux.

Perché sur une étoile, au firmament des cieux,
Eros, le dieu archer, décoche un trait tout bleu,
Une flèche qui va droit au cœur du terrien.
Touché ! Le gris du ciel s’en estompe soudain

Et l’azur est partout, et les yeux se confondent.
Tout renaît de la pluie. Dans le ciel passe une onde
Riche de sentiments qui semblaient oubliés.
En se joignant, les cœurs, à l’horizon liés,

Bienheureux maintenant, tournent vers le soleil
Leur regard amoureux, et, sortis du sommeil,
En bénissant l’azur, savent que d’un ciel noir,
Un autre, clair et bleu, peut redonner l’espoir.

késaco

Ginette, j’attends avec impatience ton bulletin

Tu nous donnes un grand bonheur chaque matin

Es-tu consciente de ce plaisir que nous gardons

Une fois que nous avons vécu ces émotions.

Femme tu es, femme tu restes jusqu’au bout

Extraordinaire personne qui nous donne tout

Je veux te dire, avec beaucoup d’autres, que je

T’aime, et veux garder de toi cette belle image.

© Claude Roques


Pour voir le site de Claude, faites une recherche sur Google : Claude Roques et Joëlle Boutot Roques.

ACROSTICHE (avec le premier mot de chaque ligne du poème)


Tu es toujours présente auprès de moi

Sais-tu combien j’aime ta présence

Ma tendresse, elle est toute pour toi

Chérie que je déteste ton absence

Que je suis mal quand tu n’es pas là

Je voudrais te dire et te redire que je

T’aime, que je t’aime, n’oublie jamais cela



Réponse


Avec ces tendres mots que tu m’écris

Autant de fois que je les relis

D’amour, je brûle pour toi

Je ne pourrai jamais vivre sans toi

Suis- moi dans cette douce aventure

Comblée par toi, je veux que cela dure


© Claude Roques

Pour voir le site de Claude faites une recherche sur Google : Claude ROQUES & Joëlle Boutot-Roques.