LES AMOURS MODERNES
L’évolutivité de la vie moderne
Ne met-elle l’affectivité en berne.
Que de couple, a se former ne cherchent,
Pour peu après se perdre.
Est-il devenu si mal aisé de trouver
UN être avec un semblant de sincérité ?
Enivrer par la nouvelle tripaille,
Vite on est dégrisé par le revers de la médaille.
Au début rattrapant le temps perdu
Que de septième ciel n’ont-ils connus ?
Mais la répétitivité, engendre la lascivité.
L’habitude n’étant un éternel début
Lorsque les atouts ont disparus
Cartes sur table il va falloir jouer.
On s’étonne alors que par une sangsue l’égide aie été trouée
Ou par trop d’abusivité, l’escarcelle ait été vidée.
Il aurait mieux valu, encore une fois, jouer la méfiance
Plutôt qu’à une espérance faire confiance !
De bien des maux on s’est cru soulager
On en ressort encore plus blessé…
L’un à l’autre se croira supérieur
Bientôt il emménagera à l’étage inférieur.
Les amours rafistollées
Ne sont certes l’idylle tant rêvée
Elles révèlent souvent un ou plusieurs enfants
Ou des comptes bancaires bien saignants.
Pour les nymphes ; nul apollon n’est chaussures à leurs pieds
Pour les Apollon, aucune nymphe plus ne leur sied.
Les amours nouvelles sont trop volubiles
À trop n’occulter son ressentir
On se fait passer pour débile !
Dans le dos que ne doivent-ils rire,
Quand l’intérieur fait tant souffrir.
En amitié comme en amour
Dans le besoin les cœurs deviennent sourds.
Plutôt que de vouloir tordre es cous,
N’en omettons que dépouillé de sa dermatique gabardine
Le corps humain n’est qu’une outre a merde et à urine !
Rendons nous en compte et il y aura ………moins de fous !
Casanova